Il y a deux grands moments : l'apparition d'Orson Welles, qui semble émerger de l'ombre d'une porte comme un être surnaturel, un fantôme ou un démon.
L'autre grand moment se déroule sur une grande roue. Orson Welles parle à Joseph Cotten et lui donne un formidable cours de cynisme géopolitique :
"L’Italie sous les Borgia a connu 30 ans de terreur, de meurtres, de carnage... Mais ça a donné Michel-Ange, de Vinci et la Renaissance. La Suisse a connu la fraternité, 500 ans de démocratie et de paix. Et ça a donné quoi ? ... Le coucou !"
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